Page:Revue des religions, Vol 1, 1892.djvu/442

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Humbaba, celui dont le rugissement est pareil à une tempête, dont la bouche est perverse et l’haleine (?) empestée (?). Il l'a placé ……… la forêt. Quiconque descend vers sa forêt, 5 — le dieu Bel l’ayant placé là, pour servir de sauvegarde à la forêt de cèdres et pour être l’effroi des hommes ; — et y pénètre, aussitôt sa vigueur (?) l’étreint. Gilgamès, s’adressant à Eabani, lui dit : « ……………………………………… ……………………… du cœur (?) 10 ……………………………………… ………………………………………

[Tab. IV.] ……………………………………… [Col. (?)a.] Gilgamès, ayant ouvert la bouche, parla et dit à Eabani : « Mon ami, ni ……………………… ni les enfants……………………… » 5 Eabani, ayant ouvert la bouche, parla et dit à Gilgamès : « Mon ami, le vêtement que nous portons, …… Humbaba qui ……………………………………………… » Gilgamès, ayant ouvert la bouche, parla et dit à Eabani : « Mon ami, certes ……………………

[Tab. IV.] ……………………………………… [Col. (?) b.] ……… le songe que j’ai eu, ……… les crêtes (?) de la montagne, ………… ……… tomba ……………… 35 ……… solide le gidu …………