Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/76

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Aussi tu l’ sens… tu cross’s, tu crânes ;
tu vous fusill’s en plein visage
de tes beaux n’œils démesurés,
et, dans la foul’ qui t’ fait passage
et qui t’envoie des boniments,
tu vas ben tranquill’ comme eun’ reine,

tétons droits et les reins cambrés.