Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/121

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Jasante[1] de la Vieille[2]



Tu ne tueras point.


— « Bonjour, c’est moi,... moi, ta m’man
J’ suis là, d’vant toi au cèmetière.
(Aujord’hui y aura juste un an,
un an passé d’pis... ton affaire.)


Louis ?
Mon petit... m’entends-tu seul’ment ?
T’entends-t’y ta pauv’ moman d’ mère ?
Ta « Vieill’ », comm’ tu disais dans l’ temps.
  1. Prière (en argot).
  2. Nom donné à la Mère (argot du peuple).