Page:Riemann - Œuvres mathématiques, trad Laugel, 1898.djvu/219

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
183
PROPAGATION D’ONDES AÉRIENNES PLANES.

Il en résulte que

(3) j x — [u -f- vV(p)] 1 j dr— x~ [“ — vV(p)l 1 j ds

est une différentielle totale exacte, dont l’intégrale w satisfait à l’équation

à* w dogF ?( ?) _j dr âs |_ dlogp

/ dw dw = m dï dT/5 2v/f’(p) rflogP

et est, par suite, une fonction de r^-s. Si l’on pose

/(P) = r H-S = <Tf

il vient

^=ü£tp’

et, en conséquence,

7 1 . d]osd, m — - - - - .

Dans l’hypothèse de Poisson <p( p) = aapk, et

/(P) = ^ P H- const., A — I

et si l’on prend la constante arbitraire égale à zéro,

/—’/ ^ ^ ^ /— ! ^ ^ “h I y/ cp ( p ) H— «z — — ; r H — s, ycp ( p ) — U = r -i S 2 ’ 1 __ i __ /r — 3 2 k — J / cr 2 (A : —-1) ( r -h s)

Dans l’hypothèse de la loi de Boyle, ’f (p) “ cia p, on obtient

/(p) = a logp, /’/( p ) H- « = r — « 4- oe, vty ( p ) — « — s — r-A a, i m 2 <2

valeurs que l’on peut déduire des précédentes en retranchant de