Page:Robert - Les Ondins, tome II.djvu/89

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la charmante Tramarine ; l’Estime & l’Amitié qui vous accompagnent, ne me font plus douter du bonheur dont vous jouissez.

Il est vrai, dit le Génie, qu’avec votre secours ces deux Divinités se sont jointes à nous, afin de resserrer les nœuds d’une union qui doit être éternelle ; & mon premier objet, en vous visitant, est de vous en marquer ma reconnoissance, & vous féliciter en même tems de l’heureux choix que vous avez fait de la charmante personne qui vous accompagne. Il est si rare de voir à l’Amour un sincere attachement, que, s’il étoit connu dans le monde, on le