Page:Rocca de Vergalo - La Poëtique nouvelle, 1880.djvu/45

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Dana l’éclair, une haine effrayante est en eux. S’est paré d’émeraude éclatante, et la rose… O passé ! Premiers bonds effrénés des esprits !

Léon Dierx

Voilà demain, voilà ma vie ! — Ah ! pauvre esclave ! Que tu n’as pas osé dire jusqu’à présent.

Emile Deschamps. — Une fête. — (Poesies complètes).

Quel est le plus cruel malheur qui sur le front… N’est-ce pas d’avoir vu rayer tout ce qu’on aime.

Id. (Unepage de Child-Harold).

L’autre, épris des clartés vivantes de l’aurore.

Albert Glatigny (Stabat Mater.)

Sur ses lèvres, mon ciel promis et ma géhenne.

Albert Glatigny (Fiat voluntas tua.)

J’aime à sentir le froid aigu de la blessure.

Albert Glatignt (La Course.)

Tigresse dont j’ai pu compter les râlements.

Albert Glatigny (Repos.)

Hercule ne doit pas languir près d’un rouet.

Albert Glatigny (L’Isolé.)

Et qu’il faut n’avoir pas de cœur, en ces moments.

Albert Glatigny (Joie d’Avril.)

Si vous en savez un pauvre, errant, misérable.

André Db Chénier (Idylles).