Page:Rocca de Vergalo - La Poëtique nouvelle, 1880.djvu/47

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Toujours aimer, toujours souffrir, toujours mourir !

P. Corneille.

Mais on sait vos penchants grossiers, vos goûts vulgaires. Et ton ange d’amour riest plus, son masque ôté… Comme si nos autels nouveaux restaient à see.

Joséphin Soulary.

Puis aussi les moissons joyeuses, les troupeaux…

André De Chénier (Idylles)*

Toujours ivre, toujours débile, chancelant…

Id. (Idylles).

Le navire, éloquent fils des bois du Pênée.

Id. (Idylles).

Qui retient ma paupière ouverte jusqu’au jour.

André De Chénier (Elégies).

Il promèn» en des lieux voisins de la lumière.

Alfred de Vigny (Eloa.)

Je cherche les sentiers voilés par les orages.

Alfred de Vigny (Eloa.)

Mais sitôt qu’il te voit briller sur un front mâle.

Alfred de Vigny (La Maison du Berger.)

Chanter aux carrefours impurs de la cité.

Alfred de Vigny (La Maison du Berger.)

Route des nations mortes, durable pierre.

Alfred de Vigny (loco citato.)

A toi mon âme, à toi ma vie, à toi mon sang.

Alfred de Vigny (La Sauvage.)