Page:Rocca de Vergalo - La Poëtique nouvelle, 1880.djvu/56

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Hier n’est plus ; Aujourd’hui meurt et demain vite.

Mme  A.-M. Blanchecotte. (Les joursvontvite. Les Militantes.)

Allons voir roucouler nos tourtereaux.

Hector Berlioz. (La Damnation de Faust.)

Parmi la maladive exhalaison.

Paul Verlaine.

Crépuscule du soir mystique. (Poèmes Saturniens.)

Qui mélancoliquement coule auprès.

Paul Verlaine. Le Rossignol. (Poëmes Saturniens.)

Et la fièvre, lorsque tout à coup je remarque. François Coppée. Le Naufragé. (Les Récits et les Elégies.)

Pusqu’il le faut, à te porter je me résigne.

Jean Aicard. Epilogue. (Les Apaisements.)

Admet l’épouvantable houle des tueurs.

Emmanuel des Essarts.

La Terreur blanche. (Poëmes de la Révolution.)

S’est perdu cet étrange bruit qui m’inquiète.

Paul Haag. Terreur nocturne. (Le Livre d’un Inconnu.)

Il est un très mélancolique paysage.

Paul Haag. Paysage. (Le Livre d’un Inconnu.)

Que la paix de tes sombres urnes soit versée.

Paul Haag. Nuit de Juin. (Le Livre d’un Inconnu.)

Et j’aspire ton souvenir avec paresse. Le même calme inaltérable est dans mon être. Je me suis fait du désespoir une habitude.

Jean Aicard XXVI. (Les Apaisements.)