Page:Rocca de Vergalo - La Poëtique nouvelle, 1880.djvu/96

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la dernière partie ; mais beaucoup de ces vers sont les meilleurs parce qu’ils ont été les plus sentis ; je comprends donc que vous ayez été fort tentés de les publier.

Je suis très sensible à la dédicace que vous m’avez faite dé la première partie.

J’apprendrai avec le plus vif plaisir que notre requête et votre volume auront trouvé à Lima un accueil favorable.

Veuillez agréer, mon cher Confrère, les nouvelles expressions de mes sentiments bien dévoués et embrasser votre cher enfant pour moi.

Sully Prudhomme.