Page:Rodin - L’Art, 1911, éd. Gsell.djvu/33

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délicate de telle autre qui étire ses bras en soulevant sa chevelure d’or au-dessus de sa tête, la nerveuse vigueur d’un homme qui marche, et quand celui-ci ou celles-là donnent un mouvement qui lui plaît, il demande que cette pose soit gardée. Alors vite il prend son argile… et une maquette est bientôt sur pied ; puis avec autant de promptitude, il passe à une autre qu’il façonne de même.


JEUNE FEMME, par A. Rodin (Cliché Bulloz).


Certain soir, quand la nuit eut commencé à feutrer l’atelier de traits d’ombre, et tandis que les