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Page:Rolland - Beethoven, 2.djvu/31

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1811, 1812… Le riche automne et les vendanges. L’or des forêts et le ciel rouge des couchants… Les deux avant-dernières symphonies, et la dernière sonate pour violon… Derniers beaux jours, derniers amours…[1] et la rencontre des deux soleils, Beethoven et Gœthe. Brève conjonction. Depuis des siècles,

  1. C’est à cette date de 1812 que paraît le mieux s’encadrer la lettre de Beethoven à l’Immortelle Aimée. (Cf. un article que j’ai publié dans la Revue musicale de Henry Prunières, 1er octobre 1927).