Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 5.djvu/238

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— « Tu finirais par me faire estimer l’humanité. »

Annette répondait :

— « Ce n’est pas d’estime qu’elle a besoin. C’est d’air et de pain. Tâche de ne pas trop l’écraser ! Vous êtes si lourds, si lourds, Timon ! On ne peut plus respirer. Qu’avez-vous besoin de tant de terre ? Un trou suffit, au cimetière. »