Page:Rolland - L’Âme enchantée, tome 6.djvu/383

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— « Tu danses encore, au rythme du wagon. Dansons nos peines, mon cher garçon, comme les moucherons dans le soleil ! »

Le premier rayon frôla le givre de la vitre.

Marc se redressa, et de ses yeux clairs regarda sur la joue de sa mère le rayon, et dans la plaine le nouveau jour :

— « Pour les moucherons, un jour de vie ! » dit-il. « Dansons ! »