Page:Rolland - Pierre et Luce.djvu/115

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dernier reflet cuivré du crépuscule sur la vitre la silhouette de Luce qui, dans l’incertitude de l’obscure lueur, le suivait d’un visage passionné. Et revenant vers la fenêtre, il appliqua sa bouche contre la vitre fermée. Leurs lèvres à travers le mur de verre se baisèrent. Puis Luce recula dans l’ombre de la chambre, et le rideau retomba.