Page:Rolland - Pierre et Luce.djvu/37

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Rien n’avait changé, pourtant. Il était dans sa chambre, encombrée de papiers et de livres. Autour, les bruits familiers. Dans la rue, le clairon qui sonnait la fin de l’alerte. Dans l’escalier, le bavardage satisfait des locataires, remontant de la cave. À l’étage au-dessus, la promenade maniaque du vieux voisin, qui attendait depuis des mois son fils disparu. — Mais dans sa chambre n’étaient plus ses soucis embusqués, qu’il y avait laissés.

Il arrive parfois qu’un accord incomplet