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ceau se rapporte à la scène funèbre qui ouvre le premier acte, et dont le second morceau fugué est apparenté à un des chœurs belliqueux du premier acte.
À l’ouverture de Riccardo I (1727), en deux morceaux, s’enchaîne une tempête en musique, peinte d’une façon puissante et romantique, qui ouvre le premier acte, à la façon de la tempête d’Iphigénie en Tauride, et sur les derniers grondements de laquelle commence un dialogue entre les héros.
Enfin on trouve quelquefois, dans l’intérieur des pièces,