Page:Roucher - Les mois, poëme en douze chants, Tome II, 1779.djvu/156

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Oui, voilà le mortel que la voix de l’erreur
Doit, dans l’ombre des nuits, assiéger de terreur.
Qu’alors près de son lit un fantôme apparoisse,
Lui montre des enfers la flamme vengeresse,
Et que le déchirant de remords superflus,
Il lui crie, en fuyant : tu ne dormiras plus.