Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/111

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Répète-moi que ton affection m’a suivi partout, et
qu’aux heures de découragement où je me croyais seul
dans l’univers, il y avait un cœur qui priait pour moi.
(G. SAND.)




Merci, frère, merci, fils des forêts créoles !
L’harmonieux écho de tes douces paroles,
Comme un rhythme divin, un chant des cieux tombé,
Berce, assoupit le cœur d’un frère en Mastabé.