Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/122

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Bayou qu’a baptisé le sauvage idiome,
Solitaire ruisseau,
O pins dont, tout enfant, je respirais l’arome,
Chênes de mon berceau,

Pontchartrain, lac sacré, recevez du poëte
Le solennel adieu !
Je meurs, je vais enfin d’une vie inquiète
Me reposer en Dieu !


(Paris, juillet 1838).