Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/125

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Quand un voile brumeux enveloppe Lutèce,
Quand mon front obscurci s’incline de tristesse,
Comme un arbuste frêle où soupire le vent,
Ainsi que par instinct, ami, je vais souvent,
Longeant les boulevards, jusqu’au Jardin-des-Plantes :
Là, les heures d’exil, pour moi, coulent moins lentes,