Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/129

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Ô mes Dieux lares ! Dieux amis que j’ai appelés
avec des larmes du fond des lointaines contrées,
du sein des orageuses passions !
(G. SAND.)



Ami, souvent, debout aux tours de Notre-Dame,
Sombre comme Frollo,
En des songes sans fin je laisse errer mon âme,
Comme un esquif sur l’eau,