Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/57

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Oui, je suis un rêveur ! j’aime comme Virgile
A vivre inglorieux,
Près d’un ruisseau sans nom qui reflète tranquille
Le vif azur des cieux ;

Oui, je suis un rêveur ! ainsi que Lamartine,
Sur l’eau d’un lac mouvant,
J’aime à voir, au lointain, la voile qui s’incline
Sous l’haleine du vent ;