Page:Rouquette - Meschacébéennes, 1839.djvu/91

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Oui, je veux respirer l’arome
Des mélèzes de Trivoli :
J’irai, sur les débris de Rome,
Chercher le silence et l’oubli.
Tu verses, ô ville éternelle,
Le calme à tout cœur désolé ;
Que je m’endorme sous ton aile !
Dieu guide le pauvre exilé !






Bonfouca, 24 mai 1838.