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XXV

Gertrude remet la paix chez les Marcotte


Gertrude prit le bras que lui offrait son oncle, et ils se dirigèrent vers la maisonnette des vieux jardiniers. La charrette portant sa dernière charge, augmentée des trois enfants et de la bonne, les rattrapa près de la maison.

« Mon oncle ! mon oncle ! crièrent les enfants, montez avec nous sur la charrette ; on est très bien.

Le général, souriant.

Merci, mes petits amis ; j’aime mieux me trouver sur mes jambes que me sentir secoué comme vous l’êtes, perchés sur toutes ces caisses.

Anne

C’est très amusant, mon oncle ; essayez, vous allez voir.