35a TABLE GÉNÉRALE DES SOURCES
(1726) et dans la première édition de Perrin (1734), et que l’impression do la Haye donne aussi (tome II, p. 244) comme le commencement de la lettre 209, voyez la note 2 de la lettre 203, p. 36e de notre tome II.
C’est du Ie-, et non (comme il a été dit tome H, p. 392, note i) du 4 novembre que la lettre (n° 2l3j est datée dans l’édition de 1734.
210 Mscr. Urosbois, p..317. f ttonen 41720), 1, 220. t La
1 Haye (1726}, I, 202. Per-
rb :f (1734)1, 404 *{l-}Si)
1, 436.
214 Perrin (1734) 1, 3g6; t {1754)
I, 44o.
210 Mscr. Grosbois, p. 1014, à partir t Rouen (1726), I, 226. La
da 2° alinéa « Je ne sais pas, Haye (1726), 1, 19g. Perrin:
etc. » {p. 400), et jusqu’à la (17*34) I, 400; (1754) I, 444.
fin de cet alinéa seulement.
216 Perrin :f {1734}!, 411; + {1754)
I, 448.
217 Perrin (1734)1, 407; t {1754)
I, 453.
218 Perrin, (1754) H, r.
219 Perrin (i734) 1, 4i4: t (1754)
II, 6..
221 Perriu, (1754) II, 12.
222 Perrin, (1754) II, i5.
224 Mscr. Grosbois, p. 321, sauf les La Haye (1726), J. 177. Per-
mots « pas moins » (p. 423, rin f (1734) I, 4a3’; f (1754)
I™ ligne), la fin de phrase in- II, 19.
diquée à la note g de la lettre, et
les mots « un peu de patience »
(p. 424, dernière ligne). Au
lieu du passage dont l’omission
1 est signalée à la note 6 de la let-
tre, on lit simplement « quand
elle a quelque incommodité,
elle se promène, et s’en guérit
par l’exercice. »
325 Autographe à M. le comte de Klostermann (1814), p. i5.
Guitaut.
229 Mscr. Grosbois, p. 325, moins La Haye (1726), I, 205. Per-
"| quelques mots indiqués à la rin:f (1734) I, 437; t (1754)
note 5 de la lettre, et les trois H, 32.
dernières lignes, qui ne se
trouvent que dans la Haye;
voyez encore la note 9 de la
lettre.
23o IUd., p. 329, moins, an dernier f 172JÎ, p. 14. f Rouen (1726),
alinéa, le membre de phrase I, 239. f La Haye (1726}, I,
« et je l’assure déjà. gibe- 2i3. Perrin:f (1734)1,441
cière que vous connoissez » j (i754) II, 36.
(p. 445, 446) Au lieu de « mais
croyez -moi, nous vous le
rendons bien, » on lit mais
croyez-moi, que nous vous le
rendrons bien. s