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le plus sûr et le plus commode du style épistolaire, si celui de Mme de Sévigné Iaissoit quelque espérance de par venir à l’imiter.
IX. AVERTISSEMENT DES LETTRES DE MADAME DE SIMIANE, s
DANS L’ÉDITION DE lyj’i.
LES lettres de Mme de Simiane ne sont point indignes de paroitre à la suite de celles de Mme de Sévigné on y trouve un air de famille. Celle où elle peint un vieux domestique de son père fondant en larmes devant le portrait de sonancien maître est unmodèlede la sensibilité la pi us honnête et la pl us touchante.
X. PRÉFACE DE L’ÉDITION DE x8i8, SOUS LE TITRE BE
NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE
DES DIFFÉRENTES ÉDITIONS
DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNE, SUIVIE D1 OBSERVATIONS SUR LES ÉDITIONS OBIGINÀLES
PAR M. DE MOHMERQDÉ.
LES lettres de Mme de Sévigké étoient déjà recherchées de son temps. Louis XIV avoit lu avec intérêt celles qui s’étoient trouvées dans les cassettes du surintendant Fouquet et l’on se prêtait dans la haute société celles qu’elle écrivoit à ses amis2. Bussy Rabutin, écrivant dans son exil les mémoires de sa vie, croyoit en rendre la i. Voyez la lettre 3o. (.W ’de l’édition de 1818.) C’eStplutôtlenUn>éro3o que la lettre 3o ce n’est point une lettre, mais un extrait des Mémoires de Bussy, que nous donnons en tête de notre lettre 70, tome I, p. 486. a. Voyez la lettre de Mme de Coulanges du io avril i6j3.
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