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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 53

maine Marie de Brancas. VI, 363 et 364. On pense à lui faire acheter la charge de Charles de Sévigné, VII, 79, 85. Il quitte sa retraite de l’abbaye du Bec, XI, 88. Pour son père et pour son fils, tous deux appelés ducs de Villars, voyez Viixaes (LouisFrancois et Louis-Antoine de Brancas, ducs de).

Brancas (Marie de Brancas, duchesse de), femme et cousine germaine du précédent, seconde fille du comte de Brancas (le Distrait), VIII, 276. Son mariage, VI, 363 et 364. Elle prend le tabouret, VI, 534. Son mariage satisfait son père, VII, 17.

Brancas (Charles comte de), souvent désigné par le sur- nom du Distrait, frère cadet du vieux duc de Villars (le Gohin), et oncle et beau-père du due de Brancas, qui précède, II, 3, 88, 97, 162, i85, 200, 3.07, 275, 284, 460, 491 III, a56, 269, 288, 293, 3i4, 33o, 339, 362, 377, 410; IV, 80, 287, 320; V, 5o, an; VI, 106; VII, 42, 121. Ses distractions, II, 161, iq5 et 196, 214, 240; III, 95 j VII, 62. Il propose à Mme de Sévigné de lui emprunter de l’argent sur gages, II, 445. La brouille de sa fille avec Mme de Grignan le désespère, III, 56. Il raconte l’histoire de la succession au titre de sénéchal de Poitou, laissé vacant par la mort du vieux Bourdeille, III. 105-107. Il adore Mme de Sévigné, III, 177 et 178. Il est malade, III, 192. Sa relation du siège de Maestricht, III, 226. Mme de Grignan ne sau-

rait trop t’aimer, III, 259, 260. Sa fille est nommée dame du palais, III, 344, 366. Il est appelé le Brouillard (?), III,^ 35g, 378 et 379, 392. Son affection pour Mme de Grignan, III, 3 78 et 379, 3g2. Il revient de l’armée avec le Roi, III, 525. Visites qu’il fait à Mme de Sévigné à Livry, V, 45, 53, 25g. Allusion à la part qu’il a eue au mariage de Mme de Grignan, V, 45, 48 Douleur que lui cause la maladie de Mme de Coulanges, V, 77.– Il dîne chez d’Harouys, V. 186. Mort de son frère, VI, Si. Mme de Sévigné lui refuse une copie d’une lettre de la mère Angélique, VI, 104. Elle va souper avec lui chez Mme de Coulanges, VI, 116. Le e Roi lui donne cent mille francs pour marier sa fille à son neveu le duc de Brancas, VI, 363 et 364. Ce mariage le rend fort content, VII, 17. Son attachement platonique et pieux pour Mme de Coulanges, VII, 49 et 5o, 84 et 85, 88. Sa mort, VII, i35. Il est enterré aux Carmélites, VIII, 3o6. Brancas (Suzanne Garnier, comtesse de), femme du précédent, part pour Bourbon, II, 207. Mme de Grignan n’est pas contente d’elle, VII, 282.

Bbancas (Françoise de), fille aînée des précédents. Voyez Haecourt (Marie de Brancas, princesse d’j.

BRANCAS (Marie de), sœur cadette de la précédente. Voyez cidessus Brancas (Marie de Brancas, duchesse dp).

Beakcas (la case de), III, 186. Bhahcas (Mmes de), de Provence, X, 336.