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HISTORIETTES, CONTES ET FABLIAUX


d’appartenir, je me console et je m’écrie avec le philosophe : Ô souveraine Providence, pourquoi faut-il que les moyens de l’homme soient assez bornés pour ne pouvoir jamais parvenir au bien que par un peu de mal[1] !



  1. Fini ce conte le 16 juillet 1787 à 10 heures du soir.