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HISTORIETTES, CONTES ET FABLIAUX


sait seules et arrosait de ses larmes les genoux de cette femme qu’elle avait si horriblement trahie : elle avoua qu’elle avait été séduite et l’avoua en versant des larmes bien amères ; ses soins..

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.....Ce qui vient de vous arriver, madame, dit-il en s’adressant à la marquise, a dû vous paraître fort extraordinaire, et n’est pourtant que la chose du monde la plus simple ; venue à Paris sans crédit, sans ressources, sans protection, à peine âgée de dix-sept ans et une trop jolie figure, vous deviez nécessairement être dupée, ce n’est pas votre faute......

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