Page:Sainte-Beuve - Port-Royal, t1, 1878.djvu/578

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

François : son optimisme théologique. — Surcroissances de fleurs. — Ses affinités poétiques et littéraires. — Bernardin de Saint-Pierre et Lamartine. — Des Portes et d’Urfé. — Vogue de saint François près du sexe. — Son culte pour la Vierge. — Écrivain plus qu’il ne croit : Amyot et Montaigne. — Camus, évêque de Belley : école séraphique et allégorique. — Arnauld vrai Malherbe en théologie.


X, pages 249 et suiv.


Saint François de Sales au complet. — Entre-deux de Pascal. — Saint François énergique dans la douceur. — Sa réserve auprès des femmes. — Correctif dans sa doctrine de la Grâce : voile dont il la couvre. — Son aversion des disputes. — Habileté politique. — Ses relations avec le duc de Savoie. — Mission du Chablais. — Moyens humains. — Sa tentative près de Théodore de Bèze. — Coup d’état de Thonon. — Louange publique au duc de Savoie ; griefs secrets. — Son jugement sur Rome expliqué. — Académie florimontane.


XI, pages 272 et suiv.


M. de Saint-Cyran. — Son jugement sur saint François de Sales. — Sa naissance ; son éducation ; ses bizarres débuts. — Question royale. — Apologie pour l’évêque de Poitiers. — Sa liaison avec Jansénius : leur retraite. — Liaison avec M. d’Andilly ; air de mystère. — Lettres de Jansénius : indigestion de science ; crudité. — Amour de la vérité. — Une lettre de M. de Saint-Cyran à la mère Angélique. — Ses premiers rapports avec Richelieu.


XII, pages 310 et suiv.


Réfutation du Père Garasse par M. de Saint-Cyran. — Petrus Aurelius. — Tactique et coup d’éclat. — Translation de Port Royal à Paris. — Période de M. Zamet. — Maison du Saint-Sacrement ; faste, illusion, aberration, — M. de Saint-Cyran