Page:Say - Mélanges et correspondance d’économie politique.djvu/499

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

n’admet pas qu’on crée des richesses immatérielles, 62, 63.


E


Économie politique : quel est le domaine de cette science suivant Dupont (de Nemours), 8 et 9. Quelles en sont les limites, suivant J.-B. Say, 54, 55. Elle est une science de faits et non une science de droits, 56. Les opinions de Ricardo et de J.-B. Say sur quelques questions d’économie politique se rapprochent, 103. Cette science est de plus en plus étudiée en Angleterre par les jeunes gens, 110. Elle fait peu de progrès en France ; les cours du Conservatoire sont suivis par des étrangers plus que par des nationaux, 135. La science observe avec soin l’enchaînement des faits qui ont rapport aux richesses, et les décrit avec exactitude, 209, 210. Fautes où peuvent tomber les bons auteurs qui ne connaissent pas l’économie politique, 380.

Égoïsme : en quoi il consiste ; il diffère du principe de l’utilité, 408.

Égoïsme national : ce qui le constitue, 409.

Emprunts publics : effets qu’ils produisent sur l’industrie et le commerce, 351.

Engorgement : s’il peut y avoir engorgement dans tous les genres de produits en même temps, 191, 192. Comment les produits bruts s’échangent contre les produits manufacturés, 193. Il n’est pas nécessaire qu’un produit vaille au-delà de ses frais de production pour que les producteurs soient en état de continuer de produire, 206. S’il est à craindre qu’il se forme une trop grande quantité de richesses, 208, 209. La nature et les vices de l’ordre social mettent des bornes à la