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Page:Schwob - Mœurs des diurnales, 1903.djvu/115

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des renseignements, suspecter tout un chacun, enfin suivre des pistes.
(Écho de Paris, 6 novembre 1902.)


Il y a même des gens qui, s’étant trouvés dans un train plus ou moins télescopé, et n’y ayant perdu ni pied ni aile, oublient très vite les cruelles impressions reçues à ce moment.

(Le Temps, 27 octobre 1902.)


Mlle Lucienne Dauphin joue Catherine comme le rôle est écrit, à coups de nerfs et à fond de train.

(gustave larroumet, Chronique théâtrale. — Le Temps, 27 octobre 1902.)


Grande et souple, sa silhouette est exquise : elle lui sert du reste à allumer tous les cœurs masculins qui fréquentent la maison.

(Le Journal, 27 octobre 1902.)


Il y eut des hommes d’état qui, dans le désarroi, la défaite et le malheur, n’ayant pour combattre pied à pied que de la salive ou de l’encre, ont su faire merveille.

(un diplomate, le Gaulois, 28 octobre 1902.)


On fait miroiter des victuailles aux yeux des noirs de la Martinique.

(henri rochefort, l’Intransigeant, 30 octobre 1902.)