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XII

LE PARLOIR.


Après dîner, Innocent s’était retiré tristement dans un coin de la cour, lorsqu’il entendit appeler :

« Monsieur Gargilier, au parloir ! »

Ses yeux brillèrent, et il s’élança vers la porte qui menait au parloir. En l’ouvrant il se trouva en face de Simplicie, de Prudence et de Cozrgbrlewski.

« Simplicie, Prudence, s’écria-t-il avec un accent de joie qui les surprit, que je suis content de vous voir ! Bonjour, Monsieur Coz. Comment allez-vous vous ? Comment va ma tante ?

SIMPLICIE.

Nous allons bien et ma tante va bien. Qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi es-tu si content de nous voir ?