J’ai un mandat du conseil pour l’arrêter.
Je suis bien aise que ce soit là tout.
Mais, monsieur le maire, croyez-vous que je donne asile à de pareilles gens ?
Nous sommes informés qu’il est ici ; excusez-nous donc, car nous devons faire une perquisition.
Oui, à votre aise, cherchez dans toutes les chambres. Si mon mari était ici, vous ne vous permettriez pas ça.
— Maître Francklin, pourquoi arrivez-vous si consterné ?
— Arden, ton mari et mon ami, est tué.
— Ha ! par qui ? pouvez-vous le dire, maître Francklin ?
— Je ne sais pas. Mais son cadavre est là étendu, — derrière l’abbaye, dans le plus lamentable état.
— Mais, maître Francklin, êtes-vous sûr que ce soit lui ?
— J’en suis trop sûr ! Plût à Dieu que je me trompasse !
— Qu’on découvre les meurtriers ! Il faut qu’ils soient connus !