Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/155

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V


Car je ne le reverrai plus,
O fils rayonnant d’une aurore,
Et, plus que jamais superflus,
Mes cris t’appelleraient encore !
Aux astres déclinants pareil
Dont la nuit seule sait le nombre,
Tu descendis au flot vermeil
Où ma plainte évoque ton ombre.