Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/154

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IV


Mon cœur ne s’est pas révolté
Contre la loi qui porte en elle
Que de l’éternelle Beauté
Vienne la torture éternelle.
Toi qui fis descendre aux enfers
Mon âme à ton charme asservie,
Phaon, les maux que j’ai soufferts
Je les pleure et je les envie.