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Sous le désir troublé dont l’effroi les tourmente,
Ils ne t’appellent plus leur sœur ou leur amante,
Mais regardent, pensifs, luire dans ta Beauté
Le dernier rayon d’or de l’immortalité !
Sous le désir troublé dont l’effroi les tourmente,
Ils ne t’appellent plus leur sœur ou leur amante,
Mais regardent, pensifs, luire dans ta Beauté
Le dernier rayon d’or de l’immortalité !