Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/223

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C’est assez que, pareil au lévite du temple,
Tu souffres qu’à genoux je reste et te contemple
O lointaine clarté de mes jours radieux !

O toi qui restes seule et qui fus la première,
Dans mon ciel où tes yeux m’apprirent la lumière
Où ton front éclatant m’a révélé les Dieux !