Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/225

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Vous n’êtes pour jamais, sous mon front désolé
Qu’une image divine et qu’un rêve envolé,
L’amère vision d’un idéal farouche.

Celle dont ces splendeurs font l’éclat immortel
Daigne à peine poser son pied blanc sur l’autel
Qu’à peine avec terreur, ose effleurer ma bouche !