Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/233

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Tout chante le réveil de l’antique beauté
Dans l’épanouissement de grâce et de clarté
Qui fait qu’aux temps païens, seule, Hélène fut belle,

Avec je ne sais quoi de triste et de surpris
De vivre dans ces temps dignes de ton mépris,
Des Olympes défunts ô proscrite immortelle !