Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/245

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Car le but inflexible où tend son cours vermeil,
C’est ta splendeur sereine et pareille au sommeil
Des océans pensifs sur leur couche de grève.

Vers elle s’allanguit son flot capricieux.,
Sentant descendre en soi le mirage des cieux,
Sitôt que ton image y passe dans un Rêve.