Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/253

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Pourquoi le temps, qui met son ombre et son affront
Au grand Rêve passé, laisse-t-il donc ton front
Briller d’un tel éclat que ce rêve y renaisse ?

Et, rallumant en moi le désir mal dompté,
Laisse-t-il refleurir dans ta noble beauté
Des Dieux que j’ai servis l’immortelle jeunesse !