Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/263

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Je te dirai : c’est toi qui m’appris la Beauté !
J’en ignorais l’orgueil et la divinité
Avant que d’avoir vu ton radieux visage.

Oui, c’est toi qui m’appris l’idéal sans retour.
Mon esprit s’est ouvert sur ton image, un jour.
Mes yeux se fermeront, un jour, sur ton image !