Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/265

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Je veux dire si bas la peine dont je meurs,
Que sa plainte se mêle aux lointaines rumeurs
Dont, par les soirs d’été, ton oreille est charmée.

Je veux que de mes pleurs le murmure soit tel
Que, sans y deviner mon tourment immortel,
D’un immortel amour tu te sentes aimée !