Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/267

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Un dernier honneur reste à mon lâche tourment :
C’est de ne pas troubler de mon gémissement
L’olympique repos où se plaît ta pensée.

Sans implorer de toi l’aumône d’un souci,
Je porterai, du moins, sans demander merci,
L’immortelle douleur de mon âme blessée !