Page:Silvestre - Le Pays des roses, 1882.djvu/269

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Sous les feux amortis des astres fraternels,
Ton image revêt les aspects éternels
Qui m’ont fait le captif éternel de tes charmes.

Le soir, plus que ton âme à mon Rêve clément,
Te rend, cruelle absente, à mes enchantements
Et, d’un souffle attendri, dans mes yeux boit mes larmes.