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(Généalogie de Tchoan-hiu: Hoang-ti engendra Tch’ang-i, qui engendra Tchoan-hiu'’).

III. L’empereur K’ou ; surnom : Kao-sin. — Arrière-petit-fils de Hoang-ti.

(Généalogie de K’ou : Hoang-ti engendra Hiuen-hiao, qui engendra Kiao-ki, qui engendra Kao-sin, qui engendra l’empereur K’ou[1]. IV. L’empereur Yao ; surnom : T’ang Yao. — Arrière-arrière-petit-fils de Hoang-ti.

(Généalogie de Yao : Hoang-ti engendra Hiuen-hiao, qui engendra Kiao-ki, qui engendra Kao-sin, qui engendra Fang-hiun, lequel n’est autre que Yao[2]. V. L’empereur Choen ; surnom : Yu. — Arrière-arrière-petit-fils de l’arrière-arrière-petit-fils de Hoang-ti.

(Généalogie de Choen : Hoang-ti engendra Tch’ang I, qui engendra Tchoan-hiu, qui engendra K’iong-chan, qui engendra King-k’ang, qui engendra Keou-wang, qui engendra Kiao-nieou, qui engendra Kou-seou, qui engendra Tch’ong-hoa, lequel n’est autre que l’empereur Choen[3].


B. LES TROIS DYNASTIES

I. — Dynastie Hia (Généalogie des Hia : Hoang-ti engendra Tch’ang-i, qui engendra Tchoan-hiu, qui engendra Koen, qui engendra Wen-ming, lequel n’est autre que Yu, fondateur de la dynastie Hia[4].

  1. Se-ma Ts’ien est ici en désaccord avec lui-même, puisqu’il a dit trois lignes plus haut que Kao-sin et l’empereur K’ou étaient un seul et même personnage, et que l’empereur K’ou était l’arrière-petit-fils de Hoang-ti. Cf. tome I, p. 39.
  2. Cf. tome I, n. 01.163. et n. 01.166. .
  3. Cf. tome I, p. 70-71.
  4. Sur l’incertitude de cette généalogie, cf. tome I, n. 02.104.