Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/102

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V. < Ha, crie Andromède, vague, arrête loi : tatpeodi loi, m la veux, k mes teins; mais ne baite pat ma bouche : je ta garde k mon béro».

Je ne mourrai point. J'atlendt mon amom n Ij i.1u« forir iir\ heures, l'heure-ablme, où le temps t'englonlit.

Je veux vivre pour lui. C'est pour lui que (u ceiiiet, geùUet.

Je vivrai : les veines frêles, dont les maillet soutieDDeni mes teint, à monstre, viennent d'un cœur brûlant ; elles ne sont pat près de rompre : le sang j coule aussi chaud, que le désir sous ma gorge violette, en Vain mordue par le vent et le froid.

Pleure et gémis : le héros ailé, qui court tor U mtt, viendra .

Le voici, l'épée i U main. . Pertée! Perséc!

Je t'appelle ! O heure. . Je te voiti . . »

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