Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/162

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Cett u Toix qui la tonne 1 l'horloge majeore, et tcul il peat ('entendre, celui pour qui elle tombe.

O sablier de l'ombre,

H6te trèi sâr, qui ne murraoret Ion invite,

Que pour rire en lilence de la voir refuser. .

Ainsi donc, ainsi donc, c'est pour moi.

Qu'âpre avoir croisé sur les rivages splendides de la vie,

Tu jettes l'ancre?

Toi, dont le pavillon signale : « N'espire plus. »

Tu ne peux rien n'apprendre, belle hirondelle de la nuit :

Tu m'attendras toujours bien moins, que je ne t'ai attendue.

Je savais avant toi. noire courrière, la nouvelle que ta ne portes,

Avant toi j'ai quitté les euales riantes de la joie.

Et le royal vojage ne m'a laissé que fureur, et que désir défo.

Sur les bords de la mer d'Irlande,

J'ai fui Cjrthère et Salamine,

Et les Cyclades, déesses aux seins d'ivoire ans, coockéet tous le soleil, dans un anneau de saphir et d'or.

Et je suis, ici, venu tendre mes épaules k la brume.

Et prendre mesure de la couche somptueuse de l'oubli, —

Entre la mer verte, le ciel plie et tes lacs, où j'étais dans «ne île posée sur un miroir.

VII. — Quelle erreur est la tienne!.. Par horreur et dégoAt de l'Ennemie, tu ne veux plus voir la vie, — que tant ta aines:

Et tu te détournes.

Cependant, elle t'enpiit ; et ton Ine en est terriblenrai lourde, comme d'une ivresse d'or.

Tu baisses le voile de ton front sur tes jeux, pour ne plus les ouvrir sur la beauté des choses. . que tant tu aimr>;

Mais lu j baignes.

Et ton coeur se torture de ne pas cueillir la pèche nirc sur l'espalier du temps, de ne pu sucer le Irait délicieux des beores.

Vois là bas si ta distingues les tmaiis soas les hêtres, et sar Im hêtres, les feuilles ? Les feuilles, que tant ta aines.

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