Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/203

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Un doui et vert baitcr au ktiter tua«e de ta briie O feuillet, (huchoiez vous voire careuc? Ou est ce voire ton- rire? Ceriei vout rivez.

II. « Vieot, mon Amour; vient, mon Ami bien aimé, • mur- murent ellet.

Ellei te penchent tur eux, qui let regardent nuet tout Jear* vêtement, et qui let fouillent d'un œil plut cuitant que le fer rouge.

Ht ont la bouche siche; et leurs cœurt te rijoaittent aux vœux obscinet qu'ellet ajoutent.

Tout bat, maintenant, ellet rient ; car ellet tont gaiet;

Lcurt lèvret de métier t'ouvrent également pour let paroles qui touillent l'homme.

Et pour celles qui lui plaitent, pour le rire éclaiani el les vaines promettet. .

Et let Morts leur répondent : car les Morts sont avides de folie.

La source pleure ti doucement tur let marches de marbre. .

Let feuilles dorment si chastement aux bras des branches, dans la fraîche maison des arbres. .

Et la lune ti calme, si blanche, silencieuse.

Verse ti purement ta riviire d'opale dant let urnei d'aibitre, sur let épaulei et le tein det ttatuet.

III. Quelle lumière pallie le deuil de cet carrefours? Là, entre set

préiretses, là erre la livide faiteute d'anget, Hécate, qui tient det aiguilles

entre ses dens. Chaque chauve routte va et vient. De tet pattet velues de

convoitises, l'araignée du désir tisse une toile dans les coeurs; et parles

rines le sang plus lourd charrie le fil visqueux, que secrète la mjrgale.

Lis Folus. — Vient, mon Amour ; vient, mon Ange, je t'aimerai.

Lts Morts. — Nous le savons : mon Amour, mon Ange, mon bien Aimé. . pour une pièce d'or.

Lu Folus. — Noos ferons ce que tu voudras : in e* I* plus fort.

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